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Le scialuppe e quell’ammaino contestato. da Corriere Nazionale il Cittadino oggi
Publié par Monique-Mauve dans Commandant SCHETTINO le 24 septembre 2014
Le scialuppe e quell’ammaino contestato. da Corriere Nazionale il Cittadino oggi.
avec la traduction en français sur le blog Verità per la CONCORDIA
On l’a appelée « LA MAUDITE », la belle nef blanche.
Publié par Monique-Mauve dans Commandant SCHETTINO le 23 septembre 2014
soi-disant depuis son baptême raté par des individus qui n’avaient encore rien écouté de leurs cours de Sciences Physiques.
Alors qu’il aurait été si facile de placer le point d’attache de la cordelette au bout duquel était fixée la bouteille de champagne sur une grue à l’extérieur du navire, comme ça :
ils l’ont placée comme ça, chichement :
résultat, l’élan coupé par le plat-bord, elle ne s’est pas cassée.
C’est le pendule de GALILEE que vous avez pu voir se balancer ainsi en TP-cours car vous aviez des mesures à faire.
Observons les deux mouvements au ralenti à partir de 1 min 05 s :
Oui, le pendule remonte à la même hauteur où sa vitesse devient nulle.
Seulement, au passage à l’altitude où elle doit frapper la coque, la bouteille n’a pas la même vitesse.
Le « pendule » a perdu une partie de son énergie en frappant l’obstacle.
Pour la vérification expérimentale à grande échelle sur un paquebot blanc, revoir la seconde vidéo.
Vos professeurs d’antan vous ont peut-être infligé les équations correspondantes (un tout petit pdf d’une page même pas, ceux qui ne l’ouvrent pas je prends les noms) :
http://www.ast.obs-mip.fr/users/perez/thermodynamique/Thermo01-01.pdf
Mais les journalistes de l’époque en chœur : « tout le monde sait que cela est un signe de malheur pour le navire et ses occupants ».
Quand je dis « l’époque », c’est après l’accident, bien sûr.
Au XXIème siècle !à terre,
les pieds dans leurs pantoufles,
n’ayant jamais vu
ni aucun de leurs proches
LA CONCORDIA elle-même !
faire appel à la superstition !
Je constate qu’à l’heure où la démolition est commencée, nous avons eu la même idée, krn et moi :
http://krn-defouloir.blogspot.fr/2014/09/des-navires-baptises.html
http://krn-defouloir.blogspot.fr/2014/09/un-hasard-pas-tout-fait-hasardeux.html
Pour repartir sur de bonnes bases
Publié par Monique-Mauve dans Commandant SCHETTINO le 16 septembre 2014
le témoignage que vous semblez ignorer
http://www.gonews.it/2013/12/10/concordia-testimonia-linfermiera-capo-via-dalla-nave-sulla-lancia-di-schettino/
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L’infirmière-chef témoigne : j’ai quitté la CONCORDIA sur la même chaloupe de sauvetage que SCHETTINO
C’est aussi le résultat des vérifications de la Guardia di Finanza.
Avec moi, il y avait aussi le commandant SCHETTINO et le commandant en second Roberto BOSIO qui m’a aidée et m’a dit : « je vais vous sauver ».
Tel est le témoignage de l’infirmière-chef de l’hôpital de bord de la COSTA CONCORDIA, la roumaine Raluca SOARE, entendue cet après-midi à GROSSETO (décembre 2013) dans le cadre du procès sur le naufrage du GIGLIO.
L’infirmière était là lorsque SCHETTINO sauta avec d’autres officiers sur le toit du canot de sauvetage qui allait quitter le navire. « Avec deux commandants, je me sentais rassurée » a-t-elle encore dit, se souvenant aussi du moment où « le chef des machines nous a rejoints et a hurlé : « démarrez, démarrez, le navire nous tombe dessus ! » ».
Raluca SOARE a aussi dit » BOSIO est tombé à l’eau à un moment, et il a bien cru qu’il allait mourir », car à ce moment là « le canot a été piégé par les bras des grues qui le retenaient » à cause de l’inclinaison du navire » et que « le marin qui devait la piloter paniquait ».
C’est SCHETTINO lui-même qui a pris la barre pour éloigner la canot du navire et c’est ainsi que le marin a pu nous conduire à bonne distance su navire qui chavirait.
Il y avait des passagers sur la chaloupe, « j’ai aidé moi-même à les faire monter à bord ».
L’infirmière s’est aussi rappelé avoir vu ensuite SCHETTINO très triste et choqué, il regardait droit devant lui, il se tenait les bras croisés ».
Lors de la phase de l’enquête, le témoin avait fait des dessins pour mieux décrire cette scène, ils ont été aujourd’hui montrés à l’audience par Monsieur le Procureur.
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i passeggeri scivolavano sui pavimenti, non si stava in piedi, andammo a
prendere le scialuppe, finii sul tetto di una lancia. Dov’ero io
c’erano anche il comandante Schettino e il comandante in seconda Roberto
Bosio il quale mi aiutò e mi disse: ‘Ti salvo io”’. Così la
testimonianza della capo infermiera dell’ospedale di bordo della Costa
Concordia, la romena Raluca Soare, sentita nel pomeriggio a Grosseto al
processo sul naufragio del Giglio.L’infermiera era presente quando Schettino con altri ufficiali saltò sul
tetto di un mezzo di salvataggio lasciando la nave. ”Con due comandanti
mi sentivo tranquilla”, ha anche detto, ricordando pure il momento in
cui ”un capo di macchina ci raggiunse e urlò ‘Scappate, scappate, la
nave vi sta venendo addosso!”’. Raluca Soare ha anche detto che ”a un
certo punto Bosio cadde in acqua e pensavo stesse per morire”, mentre
”la lancia” a causa dell’inclinazione della nave ”era intrappolata tra i
bracci che la tenevano, mentre il marinaio che la doveva guidare era
nel panico. E’ stato anche Schettino ad agire per tirare via la lancia
dalla nave e così il marinaio l’ha potuta condurre a distanza dalla
nave” che si ribaltava. Sulla lancia c’erano passeggeri, ”io stessa
aiutai a farli salire a bordo”.
L’infermiera ha inoltre ricordato di aver poi visto ”Schettino molto
triste e choccato, guardava fisso davanti, stava a braccia conserte”. La
testimone durante la fase delle indagini aveva realizzato dei disegni
per descrivere queste scene, oggi mostrati dai pm in aula.
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i passeggeri scivolavano sui pavimenti, non si stava in piedi, andammo a
prendere le scialuppe, finii sul tetto di una lancia. Dov’ero io
c’erano anche il comandante Schettino e il comandante in seconda Roberto
Bosio il quale mi aiutò e mi disse: ‘Ti salvo io”’. Così la
testimonianza della capo infermiera dell’ospedale di bordo della Costa
Concordia, la romena Raluca Soare, sentita nel pomeriggio a Grosseto al
processo sul naufragio del Giglio.L’infermiera era presente quando Schettino con altri ufficiali saltò sul
tetto di un mezzo di salvataggio lasciando la nave. ”Con due comandanti
mi sentivo tranquilla”, ha anche detto, ricordando pure il momento in
cui ”un capo di macchina ci raggiunse e urlò ‘Scappate, scappate, la
nave vi sta venendo addosso!”’. Raluca Soare ha anche detto che ”a un
certo punto Bosio cadde in acqua e pensavo stesse per morire”, mentre
”la lancia” a causa dell’inclinazione della nave ”era intrappolata tra i
bracci che la tenevano, mentre il marinaio che la doveva guidare era
nel panico. E’ stato anche Schettino ad agire per tirare via la lancia
dalla nave e così il marinaio l’ha potuta condurre a distanza dalla
nave” che si ribaltava. Sulla lancia c’erano passeggeri, ”io stessa
aiutai a farli salire a bordo”.
L’infermiera ha inoltre ricordato di aver poi visto ”Schettino molto
triste e choccato, guardava fisso davanti, stava a braccia conserte”. La
testimone durante la fase delle indagini aveva realizzato dei disegni
per descrivere queste scene, oggi mostrati dai pm in aula.
Bilan du mois de Mai 2014
Publié par Monique-Mauve dans Commandant SCHETTINO, Jeux, Journal de bord le 30 Mai 2014
Vu à la télé avec trois mots inattendus prononcés tout naturellement : « complice », « manipulation », « tragédie »
Je résume le message de l’interviewé : c’est grâce à une opération de communication réussie qu’aux yeux de l’opinion publique le Capitaine est le seul responsable.
Cette opération était nécessaire pour que l’industrie mondiale de la croisière et tous ceux qui en vivent, les petits aussi bien que les grands, ne subissent pas une crise en plus de la crise.
Comment est-ce que cela a été rendu possible ? l’opinion publique a été manipulée, nous apprenons que les victimes ont été manipulées aussi, le tout parce que les journalistes ont été, en masse, manipulés.
La méthode appliquée :
Monsieur Marc ESKENAZI, communicant de son état, est réveillé en pleine nuit par son collègue italien pendant la nuit du vendredi 13 janvier 2012.
Il se rend chez COSTA FRANCE, la télé est allumée devant l’état-major qui regarde les dernières informations sur la CONCORDIA.
Un paquebot de COSTA CROISIÈRES a été échoué devant une petite ile de l’archipel Toscan.
COSTA CROISIERES qui « avait patiemment bâti sa réputation sur le rêve et la sécurité » justement !
- Une seule interview sera accordée par Monsieur Georges AZOUZE, le patron, à un seul journal dès le samedi : le PARISIEN. Le mot tragédie a été choisi pour parler de l’évènement.
- Pendant ce temps-là, en Italie, le Capitaine SCHETTINO, le plus ancien dans le grade le plus élevé à bord, vient d’être désigné comme LE responsable, on publie à tour de bras que :
1°/ « il » s’est rapproché bien trop près de l’ile
2°/ « il » a déserté le navire en abandonnant les passagers
« Il sera tout fait pour éviter que la compagnie soit accusée de négligence, voire de complicité avec le Commandant. »
- L’envoyé spécial du FIGARO en Italie est contacté pour aider à éteindre une polémique avec les passagers rescapés, une question de sous au sujet de leur indemnisation.
On annonce qu’on leur remboursera la totalité de la croisière, les trajets pour aller prendre le bateau et pour revenir après l’accident.
En Italie, on fixe un montant secret pour l’indemnisation, 11000 euros par passager, secret parce qu’on l’annoncera en deux étapes. Accueil mitigé lors d’un sondage discret alors
- Premier montant plus petit annoncé dans le Figaro 8000 euros par personne. Saluons au passage l’utilisation subtile du conditionnel.
- Deux jours après les 8000, les 11000 euros d’indemnité sont annoncés. Et 85% des passagers acceptent. La pilule sous pour dommages subis est passée.
La première réaction est que c’est un sordide calcul sur le malheur subi.
A la seconde lecture, c’est une opération commerciale courante, c’est le facteur humain qui indignait : les passagers ont été manipulés.
Comme pour les soldes, 1re démarque, 2ème démarque, vendu : communication réussie.
L’opération de communication de Monsieur Marc ESKENAZI est un succès, la marque COSTA est sauvée :
1°/ pour l’opinion publique, le Capitaine est le seul responsable
2°/ les clients sont revenus
3°/ le marché a repris plus vite que prévu.
La campagne de communication a été demandée à une société spécialisée et financée par COSTA et l’ensemble des grandes Compagnies de croisière dans le monde.
Voulez-vous jouer à « Jeu d’influences », un jeu de rôle gratuit et en français ?ce sera vous qui profiterez des conseils des communicants.
Costa a attaqué, dès les premières heures son capitaine, parce que la compagnie craignait qu’on croie qu’elle était COMPLICE avec lui.
Alors lequel et complice de quoi ?
Et qui à ce moment là pensait qu’il pourrait ne pas s’agir seulement d’un malheureux accident ?
… sauf des personnes qui auraient tout fait pour que ça ressemble à un accident …
Voilà pourquoi il était aussi important de faire appel à une entreprise de communication
pour ne pas risquer de gaffer.
Corrine a reconstitué ce qui se sait de la chronologie des faits sous forme de tableau là
Je résume en ce qui concerne le tournant à prendre pour longer la côte de l’ile du GIGLIO en venant de la route directe CIVITAVECCHIA-SALERNE :
le Capitaine AMBROSIO ordonne cap à 278°, puis cap à 290°
21 h 36 min 39 s, là où il se trouve la CONCORDIA, il faudrait prendre le tournant en ordonnant cap à 334°
le Capitaine AMBROSIO répète cap 290° et l’officier CORONICA confirme qu’on suit bien ce cap trop petit en nombre
en clair, à ce moment-là, « il » visait plutôt la plage de CANNELLE que les balises du port de PORTO-GIGLIO, « il » ne faisait pas tourner la CONCORDIA suffisamment pour pouvoir sortir de l’anse
pendant ce temps, le Commandant SCHETTINO se renseigne au téléphone pour savoir s’il aura bien (au futur) de l’eau sous la coque sur la route de l’inchino du mois d’août fait par le Commandant GARBARINO
ne me demandez pas pourquoi, mais le Commandant SCHETTINO a du retard par rapport à la réalité, je constate, c’est tout
La réalité lui apparait sous forme d’écume, il prend le commandement et demande cap 300°, 310°, 325°, 330°, 340°, 350° très supérieur à 334° mais …
Les journaux, récemment : « il dit qu’il a heurté un petit rocher » (indignation manifeste, je vois d’ici la personne chargée de la mise en page choisir la police d’écriture du titre avec la bouche en cul de poule).
Il a même dit que le rocher n’était pas sur la carte, alors que la CONCORDIA ramenait un paveton de plusieurs dizaines de tonnes encastré dans sa coque, si vous allez par là.
en retard par rapport à la position réelle de la CONCORDIA aussi
Où en sommes-nous aujourd’hui ?
A GROSSETO,
L’officier responsable de la vérification de la route qui s’est tu le soir du malheur s’est présentée à la Cour en continuant à se taire. Pourquoi ? elle a déjà été jugée et a fait sa peine négociée.
Le Commandant AMBROSIO est venu par respect pour les victimes, il a répondu aux questions qui lui ont été posées. Il a fait sa peine négociée et a repris son service à bord.
A GÊNES, la société a touché les sous de l’assurance et la CONCORDIA pourra être reconstruite.
Partout dans le monde, des familles pleurent des disparus, survivent au traumatisme en s’accrochant, ils pensent : « la fantaisie d’un capitaine contre des vies humaines ».
Mais le mot est faible ! c’est plus grave qu’une fantaisie, il me semble : 334° c’est 334°. Des officiers qui ont une culture scientifique de niveau universitaire, se tromper là dessus ?
flag of convenience ! five ! cinq paquebots !
La passerelle est en panne, on y va ?
Publié par Monique-Mauve dans Commandant SCHETTINO le 24 avril 2014
elle s’éteignait de temps en temps et puis elle repartait
des blancs, l’ALZHEIMER informatico-électronique
sans enregistrer qu’il s’était écoulé du temps
que la CONCORDIA avait avancé sur sa lancée pendant ce temps
qu’elle avait dépassé le waypoint du tournant
que le pilote automatique aurait du faire tourner le bateau automatiquement
sans donner l’alarme du tout aux officiers de la passerelle comme quoi ça n’avait pas été fait
Une boite noire, ça ne sait pas donner l’alarme et puis, ça ne fait qu’enregister.

2°/ la boite noire a eu une absence juste au moment où il n’aurait pas fallu,
ne me demandez pas pourquoi, mais les gouvernails n’ont plus reçu les instructions informatico-électroniques
quand le commandant a dit « I take the comms » le bateau ne pouvait pas répondre
Le choc frontal qui les attendait et le bateau ne réagissait pas au timon
Si c’est pas un black-out avant le choc avec l’écueil du SCOLE, ça !
Environ deux semaines avant le tragique accident, l’équipage du SEWOL-HO avait fait parvenir un formulaire de demande de réparation à la Compagnie Maritime propriétaire du ferry CHONGHAEJIN.
Il dit que l’équipement de pilotage du ferry à présent submergé envoyait des avertissements « Pas d’alimentation. »
Pour pouvoir l’utiliser, les membres de l’équipage indiquaient être obligés de le relancer complètement et devaient se brancher sur une alimentation de secours à partir du panneau d’alimentation en attendant que le courant revienne.
Le formulaire de demande indique en outre que la cause de l’origine de ce problème était inconnue.
Malgré cela*, l’armateur du ferry n’avait rien fait pour solutionner le problème.
La radio coréenne YTN a rapporté mercredi que l’entreprise de réparation navale qui avait
travaillé sur le ferry SEWOL auparavant, a déclaré qu’il ne pas avoir
réparé l’équipement de pilotage du ferry SEWOL récemment, pas
plus qu’elle n’avait reçu de demande de réparation au sujet de l’équipement de pilotage.
Les experts disent que l’équipement de pilotage est essentiel pour la sécurité de la navigation, que tout problème dans l’équipement de pilotage augmente la probabilité que se produise un accident et qu’il devrait être interdit que les navires ayant un problème quelconque sur l’équipement de pilotage puisse prendre la mer.
Pourtant, on constate que la Compagnie Maritime CHONGHAEJIN a fait naviguer le malheureux ferry pendant plus de deux semaine, jusqu’à l’accident, la semaine dernière.










