La même dynamique d’accident.
Ce jour là, le 13 juin 2005, ça n’a pas mal tourné parce que le fond était sablonneux là où c’est arrivé – la main de Dieu là aussi ?
Un episodio che non era stato denunciato come tale: il comandante annotò che la nave, tra Napoli e Palermo, «aveva subìto un anomalo innalzamento della temperatura della boccola dell’asse sinistro che causava delle rientranze d’acqua».
Un épisode qui n’a pas été signalé comme tel : le capitaine nota que le navire, entre NAPLES et PALERME, « avait subi une élévation inhabituelle de la température du manchon DE L’AXE, sinistre qui avait causé une entrée d’eau ».
D’où la comparution de deux officiers de la Capitainerie de Port de PALERME en tant que témoins, pour expliquer pourquoi :
«un atteggiamento al limite della reticenza e si sarebbero potute in qualche modo ipotizzare seriali violazioni di legge nell’esercizio della flotta Costa».
«Une telle attitude à la limite de la réticence et qui aurait pu être en quelque sorte couvrir la violations en série des lois dans la pratique de la flotte de Costa.»
Sera témoin aussi le photographe de bord de la COSTA FORTUNA à l’époque des faits, Roberto CAPPELLO qui fit une déposition auprès des Garde-côtes le 18 janvier 2012 :
18 gennaio 2012 (cinque giorni dopo l’urto con le Scole al Giglio) l’ex fotografo di bordo della Fortuna, Roberto Cappello, anche lui citato. Il quale alla guardia costiera aveva raccontato che, dopo essere stato incaricato di scattare immagini della carena, «gli erano stati sequestrati i files fotografici e che venne minacciato», anche di essere sbarcato e denunciato. Anche in quella circostanza, responsabile della crisi a terra era Roberto Ferrarini.
peut-être parce que ça n’avait pas mal tourné, cette fois-là.
L’axe, l’arbre de transmission après les portes étanches !
Le souriceau de bord comprend mieux cet extrait – tronqué – de l’interview accordée au FIGARO par Francesco SCHETTINO (sais plus quel titre lui donner maintenant) :
… je remettrai les pieds sur un navire.
Mais surtout pas sous pavillon italien!
(pourvu que ce ne soit pas pour essayer de faire que l’arbre de transmission ne chauffe pas trop ! soupire le souriceau)
A ce sujet, voici un article qui vient de paraître sur un blog ami : Un axe et des portes étanches
qui raconte le naufrage de la PRINCIPESSA MAFALDA
qui appartenait à la Compagnie Lloyd Italiano GENOVA (tiens) le 25 octobre 1927
suite à la rupture de son axe d’hélice gauche (tiens, tiens)
et naviguait avec des portes étanches qui ne fermaient pas (tiens, tiens, tiens)
En résumé :
Pour le récit détaillé avec les données chiffrées de l’Université d’UPSALA :
http://chichal.blogspot.fr/2014/02/un-axe-et-des-portes-etanches.html
#1 par krn le 11 février 2014 - 13 h 46 min
Le moins que l’on puisse dire, c’est que le naufrage du Costa Concordia aura permis d’ouvrir bien des placards.
#2 par Monique-Mauve le 11 février 2014 - 14 h 06 min
Où on entassait depuis bien longtemps.