Articles tagués capitaine en second Robert BOSIO
Pour repartir sur de bonnes bases
Publié par Monique-Mauve dans Commandant SCHETTINO le 16 septembre 2014
le témoignage que vous semblez ignorer
http://www.gonews.it/2013/12/10/concordia-testimonia-linfermiera-capo-via-dalla-nave-sulla-lancia-di-schettino/
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L’infirmière-chef témoigne : j’ai quitté la CONCORDIA sur la même chaloupe de sauvetage que SCHETTINO
C’est aussi le résultat des vérifications de la Guardia di Finanza.
Avec moi, il y avait aussi le commandant SCHETTINO et le commandant en second Roberto BOSIO qui m’a aidée et m’a dit : « je vais vous sauver ».
Tel est le témoignage de l’infirmière-chef de l’hôpital de bord de la COSTA CONCORDIA, la roumaine Raluca SOARE, entendue cet après-midi à GROSSETO (décembre 2013) dans le cadre du procès sur le naufrage du GIGLIO.
L’infirmière était là lorsque SCHETTINO sauta avec d’autres officiers sur le toit du canot de sauvetage qui allait quitter le navire. « Avec deux commandants, je me sentais rassurée » a-t-elle encore dit, se souvenant aussi du moment où « le chef des machines nous a rejoints et a hurlé : « démarrez, démarrez, le navire nous tombe dessus ! » ».
Raluca SOARE a aussi dit » BOSIO est tombé à l’eau à un moment, et il a bien cru qu’il allait mourir », car à ce moment là « le canot a été piégé par les bras des grues qui le retenaient » à cause de l’inclinaison du navire » et que « le marin qui devait la piloter paniquait ».
C’est SCHETTINO lui-même qui a pris la barre pour éloigner la canot du navire et c’est ainsi que le marin a pu nous conduire à bonne distance su navire qui chavirait.
Il y avait des passagers sur la chaloupe, « j’ai aidé moi-même à les faire monter à bord ».
L’infirmière s’est aussi rappelé avoir vu ensuite SCHETTINO très triste et choqué, il regardait droit devant lui, il se tenait les bras croisés ».
Lors de la phase de l’enquête, le témoin avait fait des dessins pour mieux décrire cette scène, ils ont été aujourd’hui montrés à l’audience par Monsieur le Procureur.
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i passeggeri scivolavano sui pavimenti, non si stava in piedi, andammo a
prendere le scialuppe, finii sul tetto di una lancia. Dov’ero io
c’erano anche il comandante Schettino e il comandante in seconda Roberto
Bosio il quale mi aiutò e mi disse: ‘Ti salvo io”’. Così la
testimonianza della capo infermiera dell’ospedale di bordo della Costa
Concordia, la romena Raluca Soare, sentita nel pomeriggio a Grosseto al
processo sul naufragio del Giglio.L’infermiera era presente quando Schettino con altri ufficiali saltò sul
tetto di un mezzo di salvataggio lasciando la nave. ”Con due comandanti
mi sentivo tranquilla”, ha anche detto, ricordando pure il momento in
cui ”un capo di macchina ci raggiunse e urlò ‘Scappate, scappate, la
nave vi sta venendo addosso!”’. Raluca Soare ha anche detto che ”a un
certo punto Bosio cadde in acqua e pensavo stesse per morire”, mentre
”la lancia” a causa dell’inclinazione della nave ”era intrappolata tra i
bracci che la tenevano, mentre il marinaio che la doveva guidare era
nel panico. E’ stato anche Schettino ad agire per tirare via la lancia
dalla nave e così il marinaio l’ha potuta condurre a distanza dalla
nave” che si ribaltava. Sulla lancia c’erano passeggeri, ”io stessa
aiutai a farli salire a bordo”.
L’infermiera ha inoltre ricordato di aver poi visto ”Schettino molto
triste e choccato, guardava fisso davanti, stava a braccia conserte”. La
testimone durante la fase delle indagini aveva realizzato dei disegni
per descrivere queste scene, oggi mostrati dai pm in aula.
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i passeggeri scivolavano sui pavimenti, non si stava in piedi, andammo a
prendere le scialuppe, finii sul tetto di una lancia. Dov’ero io
c’erano anche il comandante Schettino e il comandante in seconda Roberto
Bosio il quale mi aiutò e mi disse: ‘Ti salvo io”’. Così la
testimonianza della capo infermiera dell’ospedale di bordo della Costa
Concordia, la romena Raluca Soare, sentita nel pomeriggio a Grosseto al
processo sul naufragio del Giglio.L’infermiera era presente quando Schettino con altri ufficiali saltò sul
tetto di un mezzo di salvataggio lasciando la nave. ”Con due comandanti
mi sentivo tranquilla”, ha anche detto, ricordando pure il momento in
cui ”un capo di macchina ci raggiunse e urlò ‘Scappate, scappate, la
nave vi sta venendo addosso!”’. Raluca Soare ha anche detto che ”a un
certo punto Bosio cadde in acqua e pensavo stesse per morire”, mentre
”la lancia” a causa dell’inclinazione della nave ”era intrappolata tra i
bracci che la tenevano, mentre il marinaio che la doveva guidare era
nel panico. E’ stato anche Schettino ad agire per tirare via la lancia
dalla nave e così il marinaio l’ha potuta condurre a distanza dalla
nave” che si ribaltava. Sulla lancia c’erano passeggeri, ”io stessa
aiutai a farli salire a bordo”.
L’infermiera ha inoltre ricordato di aver poi visto ”Schettino molto
triste e choccato, guardava fisso davanti, stava a braccia conserte”. La
testimone durante la fase delle indagini aveva realizzato dei disegni
per descrivere queste scene, oggi mostrati dai pm in aula.
Il y en a qui en oublient un morceau
Publié par Monique-Mauve dans Commandant SCHETTINO, Journal de bord le 12 février 2014
GROSSETO, Italy, Feb. 11
http://www.upi.com/Top_News/World-News/2014/02/11/Ex-Costa-Concordia-first-mate-testifies-he-pushed-abandon-ship-button/UPI-22731392137525/?spt=rln&or=2
12 febbraio, 10:35, avec le copyright, je ne traduirai pas textuellement. ANSA est une agence qui vend la matière pour faire les articles aux journalistes
La dernière audience a été le siège d’un coup de théâtre à GROSSETO.
Mais il faut que je vous raconte :
l’officier capitaine en second Robert BOSIO a encore répété combien Francesco SCHETTINO s’est trouvé désemparé, « inerte » devant les évènements, comme tous les employés de COSTA, les mains liées par la loyauté envers le patron qui les paie devront le faire.
avais-je appris lors de mon auto-formation de secrétaire.
C’est un peu vrai pour les petites entreprises, pour la première entreprise nationale italienne, j’ai un doute, et pour un holding, alors !
Ça a les reins plus que solides, un holding, je n’imagine même pas les sous qu’ils brassent.
Bref, BOSIO a parlé dans le sens qu’on attendait de lui. Pas de surprise donc.
Pour le lecteur du journal en anglais le compte-rendu de son passage à la barre s’arrête là.
Continuons en lisant jusqu’au bout ce qui a été communiqué à la presse par l’agence italienne, que trouvons-nous ?
pour la première fois depuis le début du procès, la défense semble avoir contre-attaqué.
Mal lui en a pris, à BOSIO ! le défense qui a accès à toutes les pièces du procès a fait entendre un extrait de l’enregistrement audio de la boite noire où on peut très distinctement reconnaitre la voix de SCHETTINO qui dit 20 secondes après le début de l’enregistrement de donner l’abandon du navire.
Et qui le répète ensuite, repérer « abbandono nave », « abbandonare la nave » … dit par la voix qui prononce souvent « allora », le Capitaine SCHETTINO a un tic verbal (sourire du souriceau qui a enseigné)
Vous repèrerez mieux sa voix aux environs de 3:10, c’est celle qui parle alors avec une indiscutable autorité, en donnant des ordres, justement.
Alors, pour avoir une idée de ce qui s’est passé réellement sur la passerelle de la COSTA CONCORDIA, on peut se dispenser de lire la presse étrangère.
