Archives de octobre 2009
C’est une histoire vieille comme le monde :
Publié par Monique-Mauve dans Atelier de Zazabelle le 7 octobre 2009
(et ça, c’est mon titre)
Atelier de Zazabelle chez Séverine : http://mistinguette1973.spaces.live.com/blog/cns!9A3CC934640D9FB9!469.entry
Zazabelle veut un texte bref
Consigne : 12 mots imposés seuls changements autorisés : singulier-pluriel et masculin-féminin (et pour les verbes, pouvait-on conjuguer ?)
- CASINO – CHALET – CADENAS – CHOUETTE
- BREDOUILLE – BELLE- BRAILLE – BASILIC
- DIMENSION – DEVOTION – DEVIATION – DELIRER
Calendrier : respecter les jours
- inscription : sous le billet qui donne les mots de la semaine jusqu’au vendredi inclus
- le billet récapitulatif est préparé le mercredi, vérifier qu’on y est prévu
- billet sur le blog : du jeudi au vendredi pas avant
Harry POTTER s’était laissé aller à délirer avec une chouette fille de son école qu’il regardait désormais avec dévotion. La belle, coachée par le basilic de sinistre mémoire, avait réussi à subtiliser la clé du cadenas de son cœur. Hier au soir, il est rentré bredouille du Casino voisin. Il aurait voulu avoir les sous pour lui offrir un chalet de dimensions suffisantes pour abriter leurs rêves.
En pain d’épices, avec son prénom écrit en braille dessus , elle mourait toujours de faim et elle n’avait pas droit aux M&M’s.
C’est une prosaïque déviation de l’idéal amoureux.
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Par un heureux hasard, il y a vraiment un basilic de sinistre mémoire dans le tome II de la saga de J. K. ROWLING.
http://www.fluctuat.net/5501-Harry-Potter-le-bestiaire
http://www.harrypotter.gallimard-jeunesse.fr/site/index.php
Permettez-moi de rendre ici hommage à cet auteur anglais dont l’œuvre m’a une fois de plus sauvé la mise :
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Pour rectifier les idées fausses les plus courantes sur le Braille http://www.enfant-aveugle.com/apprendrebraille.html
Le petit déjeuner du français moyen
Publié par Monique-Mauve dans Journal de bord le 7 octobre 2009
(c’est le titre)
Atelier à thème de ZazaBelle chez Zazabelle : http://cid-3695e5a5030700a8.spaces.live.com/blog/cns!3695E5A5030700A8!12523.entry
Zaza veut un texte BREF,
Consignes :
- 6 mots imposés : CONFITURE – FRUIT – GELEE – POT – SUCCULENTE – SUCRE
- 6 mots supplémentaires dans le même thème : beurre – café au lait – cuillère en bois – chaudron de cuivre – douceur – pain coupé – petit déjeuner – petite cuillère – tartine – toile cirée – tranche de pain (comme le sujet est vaste elle sera tolérante sur les mots ajoutés)
- seuls changements autorisés : singulier pluriel , et masculin féminin
Calendrier :
- inscription : sous le billet récapitulatif du mercredi jusqu’au vendredi inclus (mettre le lien et le titre)
- envoi du billet : du jeudi au vendredi
- verdict samedi
JADIS
Pour faire une bonne confiture, prendre des fruits, du sucre, mettre le tout sur le feu dans un chaudron en cuivre et touiller avec une cuillère en bois. Avec un peu de veine vous obtiendrez de la gelée, de toute façon, le résultat est succulent, incontournable pour le petit déjeuner.
AUJOURD’HUI
Tout commence avec le choix parmi les deux ou trois pots entamés dans le frigidaire. L’heureux élu que l’on a reconnu par son étiquette qui porte une photographie de fruit flatteuse rejoint alors sur la toile cirée à carreaux rouges et blanc le pain coupé pour les tartines.
Préparation (1re partie) :
Saisir la tranche de pain la moins trouée. D’un couteau prudent colmater au beurre ramolli au micro-ondes. Etaler ensuite la douceur d’une petite cuillère généreuse mais habile. Veiller à ne pas percer la fragile pellicule de beurre et à ne pas déborder sur les côtés du pain. Cette manipulation est l’objet d’une vidéo pédagogique de Michel SERRAULT.
Préparation (2ème partie) :
Le petit doigt en l’air, tremper la tartine dans le café au lait que l’on a sucré avec ces sucrettes qu’un médecin vicieux impose aux meilleurs d’entre nous. La chose est délicate : il faut humecter suffisamment la mie sans que ne rien n’aille se perdre dans le breuvage fumant.
Mode d’emploi :
Mordre, déguster, avaler.
MAIS TOUJOURS
La confiture dégouline. Une version sonore de l’exposé que les Frères JACQUES ont fait sur le sujet a été ajoutée à la playlist sur le lecteur de DEEZER
S’il vous plait, ne les effrayez pas : elles me balayent les mies.
pour Sasha
Publié par Monique-Mauve dans Journal de bord le 6 octobre 2009
Pour les plus jeunes
Publié par Monique-Mauve dans Jeux le 5 octobre 2009
avec des perles, les liens vous amènent sur le site : http://www.y8.com/games/Friendship_Bracelet_Maker
Friendship Bracelet Maker
Click here to play this game
et pour l’avoir en plein écran : http://media2.y8.com/games/content/friendship_bracelet_maker.swf
Il faut que je vous raconte :
Publié par Monique-Mauve dans Atelier de Régine le 5 octobre 2009
Atelier de Régine, semaine en OIR http://redeba.spaces.live.com/blog/cns!55AB7DB88B512407!13318.entry
Nouvelle consigne : le texte doit commencer par “Je me trouvais chez le coiffeur lorsque… ”
Date limite : vendredi dernier délai
Je me trouvais chez le coiffeur lorsque le le vis s’approcher une passoire à la main pour la poser sur la tête de ma voisine qui voulait des mèches. C’était à voir. Puis il me fit un discours incantatoire en feuilletant l’assortissoir des couleurs après un coup d’œil vexatoire à ce qu’était devenue ma toison au bout de deux mois.
Après le passage au lavoir pour le shampoing purificatoire on m’a rincée sur l’entonnoir avec un arrosoir d’eau tiède-chaude et enfin séchée au frottoir doux des serviettes éponge. A ce moment là, je n’ai pas eu besoin de lissoir, ni d’aplatissoir non plus ! J’attendais ma coupe au rasoir sous le peignoir sudatoire. Victoire, depuis sur son perchoir me dominait sur le juchoir où elle m’avait fait asseoir. Ces nouveaux fauteuils fonctionnent comme celui du dentiste : un coup de pied sur le poussoir et j’ai grimpé jusqu’au butoir ouvrant tout grand mon clavardoir sous la surprise.
Enfin elle me tint le crachoir, le salon est un déversoir quand ce n’est pas un défouloir, un merveilleux observatoire : il faudrait avoir un écritoire pour refaire l’Assommoir de ZOLA. Choix du peigne dans le foutoir et puis brushing au séchoir crématoire. Le laquage fut comme d’habitude un étouffoir et je dus sortir mon mouchoir. Je me regardai dans le miroir avec l’espoir d’avoir perdu vingt ans… et j’entendis un coup d’encensoir. Après un petit passage au pissoir, bien sûr je finis au comptoir où l’usage veut qu’on ouvre le fermoir du porte-monnaie pour le pourboire de Victoire.
Je rentrai : Nour m’accueillit au milieu du couloir, pendant mon absence elle avait dormi comme un loir.
LE GENIAL PATRON DU SALON LA PERRUQUE MECHEE DE MA VOISINE


