Articles tagués Costa Concordia
«La telefonata di De Falco? Il file mi è “caduto” in macchina» da Corriere Nazionale il Cittadino oggi
Publié par Monique-Mauve dans Commandant SCHETTINO le 1 octobre 2014
Concordia: le immagini mai viste da Corriere Nazionale il Cittadino oggi
Publié par Monique-Mauve dans Commandant SCHETTINO le 1 octobre 2014
On l’a appelée « LA MAUDITE », la belle nef blanche.
Publié par Monique-Mauve dans Commandant SCHETTINO le 23 septembre 2014
soi-disant depuis son baptême raté par des individus qui n’avaient encore rien écouté de leurs cours de Sciences Physiques.
Alors qu’il aurait été si facile de placer le point d’attache de la cordelette au bout duquel était fixée la bouteille de champagne sur une grue à l’extérieur du navire, comme ça :
ils l’ont placée comme ça, chichement :
résultat, l’élan coupé par le plat-bord, elle ne s’est pas cassée.
C’est le pendule de GALILEE que vous avez pu voir se balancer ainsi en TP-cours car vous aviez des mesures à faire.
Observons les deux mouvements au ralenti à partir de 1 min 05 s :
Oui, le pendule remonte à la même hauteur où sa vitesse devient nulle.
Seulement, au passage à l’altitude où elle doit frapper la coque, la bouteille n’a pas la même vitesse.
Le « pendule » a perdu une partie de son énergie en frappant l’obstacle.
Pour la vérification expérimentale à grande échelle sur un paquebot blanc, revoir la seconde vidéo.
Vos professeurs d’antan vous ont peut-être infligé les équations correspondantes (un tout petit pdf d’une page même pas, ceux qui ne l’ouvrent pas je prends les noms) :
http://www.ast.obs-mip.fr/users/perez/thermodynamique/Thermo01-01.pdf
Mais les journalistes de l’époque en chœur : « tout le monde sait que cela est un signe de malheur pour le navire et ses occupants ».
Quand je dis « l’époque », c’est après l’accident, bien sûr.
Au XXIème siècle !à terre,
les pieds dans leurs pantoufles,
n’ayant jamais vu
ni aucun de leurs proches
LA CONCORDIA elle-même !
faire appel à la superstition !
Je constate qu’à l’heure où la démolition est commencée, nous avons eu la même idée, krn et moi :
http://krn-defouloir.blogspot.fr/2014/09/des-navires-baptises.html
http://krn-defouloir.blogspot.fr/2014/09/un-hasard-pas-tout-fait-hasardeux.html
Jacob RUSLI BIN ? il avait témoigné tout de suite, spontanément
Publié par Monique-Mauve dans Commandant SCHETTINO le 19 septembre 2014
Le procès-verbal de sa déposition est en ligne depuis une éternité en ITALIE là :
http://www.quotidiano.net/file_generali/documenti/PDF/2012/01/timoniere.pdf
C’est l’introduction, le cadre juridique.
Depuis combien de temps étiez-vous embarqué sur la CONCORDIA ?
J’ai embarqué le 21 octobre 2011 et j’ai commencé à être de garde en passerelle en tant que marin timonier le 21 décembre 2011.
Avez-vous été de timonier sur d’autres navires ?
Je suis timonier chez COSTA depuis 2004.
Quels sont vos tours de garde à bord ?
Je suis de garde de 08:00 à 12:00 et de 20:00 à 24:00
Pouvez-vous préciser les tâches du timonier à bord du navire ?
Je maintiens le cap selon les consignes données par l’équipe de commandement. Parfois je surveille le pilote automatique réglé sur la route choisie lors de la phase de planification du voyage.
De plus je surveille les points de repère importants sur la côte, aidant en cela l’Officier de Garde en passerelle pendant la navigation.
Le jour du 13 Janvier 2012 vous étiez de tour de garde entre 20:00 heures et 24:00 heures ?
Oui.
Depuis le départ du Navire de CIVITAVECCHIA avez-vous enclenché le pilote automatique ?
Quand le Pilote de CIVITAVECCHIA est descendu, la navigation de sortie de port était terminée, d’après ce que m’a dit lors du passage des consignes le timonier précédent de nationalité Philippine, qui se nomme MARLON et dont je ne me rappelle pas le nom de famille, le pilote automatique étant réglé sur le cap 201° jusqu’à environ 20:45 lorsque le 1er Officier AMBROSIO m’a donné l’ordre de passer en mode manuel.
à 301° ils vont bien vers L’ARGENTARIO
Les autres fois où vous êtes passé entre l’ile du GIGLIO et le promontoire de L’ARGENTARIO, avez-vous toujours navigué en mode manuel ?
Oui.
Les autres fois, à quelle distance de l’ile du GIGLIO naviguiez-vous ?
Je ne me rappelle pas de la distance parce que je ne vois ni le Radar ni la carte nautique, je ne fais que maintenir le cap qu’on m’ordonne, même si je me souviens qu’on passait toujours à la même distance entre l’ile du GIGLIO et le Promontoire de L’ARGENTARIO en maintenant le cap au 290°.
Pour le passage entre l’ile du GIGLIO et le Promontoire de l’ARGENTARIO, le Commandant était-il sur la passerelle ?
Chaque fois que nous passons dans la zone de l’ile du GIGLIO, le Commandant monte et reste sur la passerelle, cette fois il est arrivé peu après 21:00, même si je ne me souviens pas de l’heure exacte.
Je précise qu’à ce moment-là, en plus de moi et le Commandant, sur la passerelle, il y avait aussi le 1er Officier AMBROSIO, le 2d Officier URSINO, le 3ème Officier CORONICA, un Élève-Officier de Couverture dont je ne me rappelle pas le nom, je me souviens seulement de son prénom : Stefano, et deux autres personnes dont je crois qu’elles faisaient partie de l’Hôtellerie.
Avez-vous vu à ce moments-là le Commandant consommer des boissons alcoolisées ?
Non, je ne l’ai jamais vu boire de l’alcool en passerelle.
Est-ce que la route suivie lors de la navigation du 13 courant était la même que celle suivie lors des précédents passages dans cette zone ?
NON, en ceci que je me suis rendu compte que nous passions très près de l’ile du GIGLIO.
les vibrations qui sont remontées depuis la salle des machines ?
Pouvez-vous nous décrire la navigation pendant le passage entre l’ile du GIGLIO et le promontoire de L’ARGENTARIO ?
A 20:45, le premier Officier m’a ordonné de passer en mode manuel et de rejoindre et maintenir le cap 290° à une vitesse de 15 nœuds
A environ 0,5/1 Mg de la côte de l’ile du GIGLIO
sûrement 0,5 mille nautiques (sans garantie)
le Commandant SCHETTINO, après avoir passé à peu près 10 minutes converser avec le personnel d’Hôtellerie présent en passerelle, a pris possession de la garde et après encore 10 minutes environ a ordonné de se régler sur 10° de barre à droite jusqu’au cap 310° et une minute après, il ordonnait en hurlant frénétiquement « à droite toute ».
Tout de suite après cet ordre, j’ai entendu un grand coup du côté gauche de la poupe du Navire et immédiatement, le Commandant qui ordonnait « à gauche toute » et encore « à droite toute ».
puis, étant arrivé ou pas au cap 310° d’après ce document, il a fallu faire la chicane pour éviter l’écueil effleurant du SCOLE :
1°/ à droite toute
2°/ à gauche toute
3°/ à droite toute.
oui, ben non, pas tout-à-fait : il est allé d’abord à gauche avant de rectifier
Vous rappelez-vous si le Commandant a contacté les Garde-Côtes ou a été contacté par eux après le choc ?
Non, je ne peux pas me rappeler si le Commandant a contacté les Garde-Côtes ou vice-versa, parce que j’étais en proie à la panique, toutefois, je peux affirmer que j’ai entendu le Commandant communiquer en italien avec le VHF.
Avant l’accident avez-vous entendu quelqu’un à bord utiliser le VHF pour communiquer ?Non, le VHF n’a pas été utilisé pendant les moments qui ont précédé l’accident.
Je suis resté au timon et j’ai vu arriver tous les officiers de couverture en passerelle, sans comprendre ce qu’ils disaient.
Combien de temps êtes-vous restés en passerelle après l’accident ?
J’y suis resté environ 30 minutes, jusqu’au signal d’alarme, 7 coups de sifflet brefs suivis d’un long.
gauche, là où je devais aller d’après le plan d’alarme à bord qui me
donne la responsabilité d’aider les personnes à embarquer, de descendre
la chaloupe et enfin de la conduire. J’ai trouvé la chaloupe déjà pleine
de passagers et quelques membres de l’équipage prêts à la faire descendre. L’équipage de la chaloupe était composé de moi, un charpentier, un mécanicien, un cuisinier et un pâtissier dont je ne me rappelle pas les noms.
Non, je n’ai parlé avec personne.
Nous savons déjà que la chicane pour éviter le choc avec LE SCOLE n’a pas pu réussir à cause, entre autres peut-être, de l’erreur du timonier.
Pourquoi diable n’avaient-ils pas tourné avant ?
RUSLI BIN semble convaincu de passer pile au milieu de toutes les côtes en allant tout droit en gardant le cap 290° !
Pour repartir sur de bonnes bases
Publié par Monique-Mauve dans Commandant SCHETTINO le 16 septembre 2014
le témoignage que vous semblez ignorer
http://www.gonews.it/2013/12/10/concordia-testimonia-linfermiera-capo-via-dalla-nave-sulla-lancia-di-schettino/
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L’infirmière-chef témoigne : j’ai quitté la CONCORDIA sur la même chaloupe de sauvetage que SCHETTINO
C’est aussi le résultat des vérifications de la Guardia di Finanza.
Avec moi, il y avait aussi le commandant SCHETTINO et le commandant en second Roberto BOSIO qui m’a aidée et m’a dit : « je vais vous sauver ».
Tel est le témoignage de l’infirmière-chef de l’hôpital de bord de la COSTA CONCORDIA, la roumaine Raluca SOARE, entendue cet après-midi à GROSSETO (décembre 2013) dans le cadre du procès sur le naufrage du GIGLIO.
L’infirmière était là lorsque SCHETTINO sauta avec d’autres officiers sur le toit du canot de sauvetage qui allait quitter le navire. « Avec deux commandants, je me sentais rassurée » a-t-elle encore dit, se souvenant aussi du moment où « le chef des machines nous a rejoints et a hurlé : « démarrez, démarrez, le navire nous tombe dessus ! » ».
Raluca SOARE a aussi dit » BOSIO est tombé à l’eau à un moment, et il a bien cru qu’il allait mourir », car à ce moment là « le canot a été piégé par les bras des grues qui le retenaient » à cause de l’inclinaison du navire » et que « le marin qui devait la piloter paniquait ».
C’est SCHETTINO lui-même qui a pris la barre pour éloigner la canot du navire et c’est ainsi que le marin a pu nous conduire à bonne distance su navire qui chavirait.
Il y avait des passagers sur la chaloupe, « j’ai aidé moi-même à les faire monter à bord ».
L’infirmière s’est aussi rappelé avoir vu ensuite SCHETTINO très triste et choqué, il regardait droit devant lui, il se tenait les bras croisés ».
Lors de la phase de l’enquête, le témoin avait fait des dessins pour mieux décrire cette scène, ils ont été aujourd’hui montrés à l’audience par Monsieur le Procureur.
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i passeggeri scivolavano sui pavimenti, non si stava in piedi, andammo a
prendere le scialuppe, finii sul tetto di una lancia. Dov’ero io
c’erano anche il comandante Schettino e il comandante in seconda Roberto
Bosio il quale mi aiutò e mi disse: ‘Ti salvo io”’. Così la
testimonianza della capo infermiera dell’ospedale di bordo della Costa
Concordia, la romena Raluca Soare, sentita nel pomeriggio a Grosseto al
processo sul naufragio del Giglio.L’infermiera era presente quando Schettino con altri ufficiali saltò sul
tetto di un mezzo di salvataggio lasciando la nave. ”Con due comandanti
mi sentivo tranquilla”, ha anche detto, ricordando pure il momento in
cui ”un capo di macchina ci raggiunse e urlò ‘Scappate, scappate, la
nave vi sta venendo addosso!”’. Raluca Soare ha anche detto che ”a un
certo punto Bosio cadde in acqua e pensavo stesse per morire”, mentre
”la lancia” a causa dell’inclinazione della nave ”era intrappolata tra i
bracci che la tenevano, mentre il marinaio che la doveva guidare era
nel panico. E’ stato anche Schettino ad agire per tirare via la lancia
dalla nave e così il marinaio l’ha potuta condurre a distanza dalla
nave” che si ribaltava. Sulla lancia c’erano passeggeri, ”io stessa
aiutai a farli salire a bordo”.
L’infermiera ha inoltre ricordato di aver poi visto ”Schettino molto
triste e choccato, guardava fisso davanti, stava a braccia conserte”. La
testimone durante la fase delle indagini aveva realizzato dei disegni
per descrivere queste scene, oggi mostrati dai pm in aula.
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i passeggeri scivolavano sui pavimenti, non si stava in piedi, andammo a
prendere le scialuppe, finii sul tetto di una lancia. Dov’ero io
c’erano anche il comandante Schettino e il comandante in seconda Roberto
Bosio il quale mi aiutò e mi disse: ‘Ti salvo io”’. Così la
testimonianza della capo infermiera dell’ospedale di bordo della Costa
Concordia, la romena Raluca Soare, sentita nel pomeriggio a Grosseto al
processo sul naufragio del Giglio.L’infermiera era presente quando Schettino con altri ufficiali saltò sul
tetto di un mezzo di salvataggio lasciando la nave. ”Con due comandanti
mi sentivo tranquilla”, ha anche detto, ricordando pure il momento in
cui ”un capo di macchina ci raggiunse e urlò ‘Scappate, scappate, la
nave vi sta venendo addosso!”’. Raluca Soare ha anche detto che ”a un
certo punto Bosio cadde in acqua e pensavo stesse per morire”, mentre
”la lancia” a causa dell’inclinazione della nave ”era intrappolata tra i
bracci che la tenevano, mentre il marinaio che la doveva guidare era
nel panico. E’ stato anche Schettino ad agire per tirare via la lancia
dalla nave e così il marinaio l’ha potuta condurre a distanza dalla
nave” che si ribaltava. Sulla lancia c’erano passeggeri, ”io stessa
aiutai a farli salire a bordo”.
L’infermiera ha inoltre ricordato di aver poi visto ”Schettino molto
triste e choccato, guardava fisso davanti, stava a braccia conserte”. La
testimone durante la fase delle indagini aveva realizzato dei disegni
per descrivere queste scene, oggi mostrati dai pm in aula.










