Tout commence par un petit rond
qui ne doit pas faire un trou au sommet du bonnet fini tout en contenant 16 brides.
Alors, soit on fait 3 mailles en l’air et on ferme par une maille coulée,
soit on fait trois fois le tour de l’index avec la laine avant de piquer dans le rond obtenu qui a l’avantage d’être pratiquement coulissant et invisible.
Pour le premier rang, 16 brides dans le petit rond
ceci étant le symbole d’une bride simple où on reconnait le jeté qu’on fait sur le crochet avant de récupérer une boucle à travers deux du crochet à deux reprises, voici donc le premier rang :
Et ça continue par le plus délicat : les augmentations.
En effet, à partir de 16 brides logées avec difficulté pour les dernières dans le tout petit trou, on doit arriver tour de notre crâne.
On réussit cela en faisant régulièrement aux rangs suivants deux brides dans la même
ce qu’on représente internationalement sur les schémas ainsi :
Pour le moment, nous sommes entre nous, et j’explique sur une “tranche” de bonnet :
Pour que les augmentations soient bien régulières et fassent un effet de plus sur le bonnet, on les fait toujours au même endroit, par exemple sur la deuxième bride de celle du rang précédent.
En partant du principe qu’on crochète de la droite vers la gauche, cela donne les schémas ci-dessus
qui correspondent, en utilisant les symboles normalisés qu’on utilise sur les journaux et sur le web à ceci :
pour donc un huitième de bonnet.
Comme nous faisons le bonnet en une seule fois, la partie “augmentations” entière du bonnet pourrait être représentée à plat ainsi :
soit, en faisant apparaitre les augmentations elles-mêmes :
La suite se crochète tout droit
en faisant une bride sur chaque bride du rang précédent, sans erreur ni oubli, jusqu’à la longueur désirée.
Et c’est tout pour le principe général des modèles de bonnet Hatnut et MyBoshi dont vous avez les liens des livres chez AMAZON sous leurs noms.
Enjoy !