Archives de 28 août 2009
Malédiction, c’est encore coupé !
Publié par Monique-Mauve dans Atelier de Régine le 28 août 2009
un billet exceptionnellement autobiographique
Atelier de Régine (chez Ghislaine) : http://sunsyharrey.spaces.live.com/blog/cns!492B16957EB3DE8E!2706.entry
Semaine en MAL
Mon été sur la Toile
émoticone tempête
Ma connexion ADSL va mal, résultat probable de la tempête de cet hiver. Le voyant @ de ma L—–x se met régulièrement à clignoter : pas normal. L’anomalie, c’est que ça se reproduit souvent. L’année dernière encore, elle était en fonctionnement optimal et j’avais en plus le téléphone et la télé. D’ordinaire, je ne suis pas malhabile avec un ordinateur, seulement là, c’est le câble souterrain qui est malade. Malchance, mon fournisseur d’accès ne fonctionne pas au bonus-malus. “A quelque chose malheur est bon” : j’ai perdu mon PDA en juillet d’une maladie fatale à sa batterie et le nouveau, un mobile, va sur Internet, ce qui me permet de suivre quand même – maladroitement – la vie de mon réseau. Bref, je suis assez malcontente.
Je constate que les virus M-N vont bien !
COPIE D’ECRAN
celle-ci a été faite le 22/08, c’est la seconde dont je garde une trace ; cliquer sur la photo a déclenché la première fois l’apparition d’un message signalant le contenu et le site d’origine comme dangereux pour l’ordi (sic)
“Sapience n’entre point en âme malivole” d’après RABELAIS… Pourtant, pendant les vacances les malfaisants ont sévi plusieurs fois. Une smala de petits malins qui se prennent pour des mâles et se croient seulement malicieux sans doute. Ils se sont nommés “hackers”, je crois (peux pas vérifier). Evidemment, ça sonne mieux que :
malappris malintentionnés – à cause d’eux, j’ai précédemment ouvert un mél adressé à une amie
malandrin (c’est faible), malfaiteurs (c’est plus juste)
Je vais m’énerver, je le sens.
“Maléfiques individus qui m’ont gâché mes vacances !”
Mais assez de paroles malsonnantes, il faut que je vous explique le rapport.
Qui a gâché mes vacances ?
A l’écran, il m’est sorti l’erreur comme étant le facteur déclenchant de déconnexion. Par mon ami Bernie, j’ai su que cela voulait dire que mes pare-feux bloquaient M——-r tant qu’ils pouvaient, lui qui est téléchargé normalement avec W—–s L–e et qui est automatiquement appelé non moins normalement au démarrage de l’ordinateur. A cause de qui, ce blocus ? Hein ? Hein ? Commencez-vous à comprendre pourquoi il me vient une dermalgie à l’évocation des pirates de méls ? Attention, je ne fais pas d’amalgame, que mon FAI n’aille pas se formaliser sur un malentendu ! Mais qu’est-ce que j’aimerais, par une nuit sans (trop de) lune, coincer dans un coin sombre un de ces malitornes personnages, avoir de mâles biceps juste pour quelques minutes et pouvoir faire sa fête à la malebête…
pour commencer, je le traiterais de malvoulu-peu-estimable et de tous les qualificatifs plus haut mentionnés, le déséquilibrerais d’un coup de malléole (le nom japonais ? o-soto-gari ? et zut, peux toujours pas vérifier), le malmènerais à souhait :
je le passerais au malaxeur, comme Jean-Christophe AVERTY,
je le malleerais sur mon mallard : il avait une malformation du cerveau, il en sortirait aussi physiquement mal-en-point et peut-être bien mort de malemort.
Serais-je malendurante ? J’éprouve un mal-être et ressens comme un malaise. Il serait malséant de donner dans le lacrymal, aussi je poserai-je là le point final.
Sur ce,
je remercie Régine et Ghislaine dont le tirage des lettres m’a permis d’exposer les causes de mon malcontentement, ce qui m’a fait malicieusement plaisir malgré que j’en aie. Je vous quitte pour essayer d’aller voir la dentelle de MALINES sur WIKIPEDIA mobile ou WAPEDIA (copie d’écran si je peux avoir une image sur Wikipédia ou Wipédia et télécharger un freeware adéquat sur le pitchouNet) en buvant un jus de malt bien frais, à moins que je ne me décide pour un petit MALVOISIE. J’ai une semaine devant moi pour publier le présent, ce serait bien le Malin si je n’y arrivais pas.
Signé de ma malvacée favorite que mes plus anciens amis vont pouvoir reconnaître :