Archives de la catégorie Atelier de Régine
La petite oie du tout petit bébé ouistiti
Publié par Monique-Mauve dans Atelier de Régine le 1 septembre 2009
Atelier de Régine : semaine de mots en OUI http://redeba.spaces.live.com/blog/cns!55AB7DB88B512407!12340.entry
“… Oui, j’ai ouï ! L’ouïe de l’oie a ouï…”
C’est une citation. Extraite d’un sketch de Raymond DEVOS, les “OUI” ne comptent pas.
Par contre, l’oie compte, beaucoup même. Elle ne compte pas ? Oh, que oui, elle compte. Ecoutez :
Près du lac de POUDLARD, Harry POTTER avait apprivoisé une oie…
oui-da ! pour me faire zigouiller par Régine ! Ho, ho, que non !
Il était une fois, une petite oie…
oui, ca y est :
… une petite oie…
oui, c’était une fille… hum, hum… écoute moi !
… une petite oie qui…
oui, je commence (j’essaie…)
… une petite oie qui était née à OUAGADOUGOU
(qu’est-ce que je raconte, moi ?)
qui était née à OUISTREHAM, chef-lieu de canton du CALVADOS
mais oui, il y a des petites oies qui naissent à OUISTREHAM
et des mares, oui, aussi, il y a des mares dans le Calvados
qui était née à OUISTREHAM et qui ne voulait pas
manger ses nouilles.
(ouf !)
“Le poisson aux Grandes Ouïes va venir !” prédisait sa maman oie. Et elle ajoutait-elle très sérieusement : “Si tu magouilles avec Pirlouit-le-ouistiti pour qu’il les mange à ta place, le poisson aux Grandes Ouïes te donnera deux ratatouilles : une pour toi, une pour Pirlouit ! Oui Mademoiselle !”
Petite oie savait bien qu’elle n’en aurait même pas une, de ratatouille, mais elle aimait bien ouïr ce mot rigolo que sa maman prononçait : “RA” – “TA” – “TOUILLE !”. Elle touillait un peu ses nouilles, puis elle les avalait tellement vite que tu n’aurais pas eu le temps de dire “ouille”.
C’est une histoire que les mamans ouistiti racontent à leur petit bébé ouistiti.
Moi, je l’ai apprise par ouï-dire.
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C’est tout petit, un bébé ouistiti.
Et ce n’est pas sage un tout petit bébé ouistiti !
Malédiction, c’est encore coupé !
Publié par Monique-Mauve dans Atelier de Régine le 28 août 2009
un billet exceptionnellement autobiographique
Atelier de Régine (chez Ghislaine) : http://sunsyharrey.spaces.live.com/blog/cns!492B16957EB3DE8E!2706.entry
Semaine en MAL
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Mon été sur la Toile
émoticone tempête
Ma connexion ADSL va mal, résultat probable de la tempête de cet hiver. Le voyant @ de ma L—–x se met régulièrement à clignoter : pas normal. L’anomalie, c’est que ça se reproduit souvent. L’année dernière encore, elle était en fonctionnement optimal et j’avais en plus le téléphone et la télé. D’ordinaire, je ne suis pas malhabile avec un ordinateur, seulement là, c’est le câble souterrain qui est malade. Malchance, mon fournisseur d’accès ne fonctionne pas au bonus-malus. “A quelque chose malheur est bon” : j’ai perdu mon PDA en juillet d’une maladie fatale à sa batterie et le nouveau, un mobile, va sur Internet, ce qui me permet de suivre quand même – maladroitement – la vie de mon réseau. Bref, je suis assez malcontente.
Je constate que les virus M-N vont bien !
COPIE D’ECRAN
celle-ci a été faite le 22/08, c’est la seconde dont je garde une trace ; cliquer sur la photo a déclenché la première fois l’apparition d’un message signalant le contenu et le site d’origine comme dangereux pour l’ordi (sic)
“Sapience n’entre point en âme malivole” d’après RABELAIS… Pourtant, pendant les vacances les malfaisants ont sévi plusieurs fois. Une smala de petits malins qui se prennent pour des mâles et se croient seulement malicieux sans doute. Ils se sont nommés “hackers”, je crois (peux pas vérifier). Evidemment, ça sonne mieux que :
malappris malintentionnés – à cause d’eux, j’ai précédemment ouvert un mél adressé à une amie
malandrin (c’est faible), malfaiteurs (c’est plus juste)
Je vais m’énerver, je le sens.
“Maléfiques individus qui m’ont gâché mes vacances !”
Mais assez de paroles malsonnantes, il faut que je vous explique le rapport.
Qui a gâché mes vacances ?
A l’écran, il m’est sorti l’erreur comme étant le facteur déclenchant de déconnexion. Par mon ami Bernie, j’ai su que cela voulait dire que mes pare-feux bloquaient M——-r tant qu’ils pouvaient, lui qui est téléchargé normalement avec W—–s L–e et qui est automatiquement appelé non moins normalement au démarrage de l’ordinateur. A cause de qui, ce blocus ? Hein ? Hein ? Commencez-vous à comprendre pourquoi il me vient une dermalgie à l’évocation des pirates de méls ? Attention, je ne fais pas d’amalgame, que mon FAI n’aille pas se formaliser sur un malentendu ! Mais qu’est-ce que j’aimerais, par une nuit sans (trop de) lune, coincer dans un coin sombre un de ces malitornes personnages, avoir de mâles biceps juste pour quelques minutes et pouvoir faire sa fête à la malebête…
pour commencer, je le traiterais de malvoulu-peu-estimable et de tous les qualificatifs plus haut mentionnés, le déséquilibrerais d’un coup de malléole (le nom japonais ? o-soto-gari ? et zut, peux toujours pas vérifier), le malmènerais à souhait :
je le passerais au malaxeur, comme Jean-Christophe AVERTY,
je le malleerais sur mon mallard : il avait une malformation du cerveau, il en sortirait aussi physiquement mal-en-point et peut-être bien mort de malemort.
Serais-je malendurante ? J’éprouve un mal-être et ressens comme un malaise. Il serait malséant de donner dans le lacrymal, aussi je poserai-je là le point final.
Sur ce,
je remercie Régine et Ghislaine dont le tirage des lettres m’a permis d’exposer les causes de mon malcontentement, ce qui m’a fait malicieusement plaisir malgré que j’en aie. Je vous quitte pour essayer d’aller voir la dentelle de MALINES sur WIKIPEDIA mobile ou WAPEDIA (copie d’écran si je peux avoir une image sur Wikipédia ou Wipédia et télécharger un freeware adéquat sur le pitchouNet) en buvant un jus de malt bien frais, à moins que je ne me décide pour un petit MALVOISIE. J’ai une semaine devant moi pour publier le présent, ce serait bien le Malin si je n’y arrivais pas.
Signé de ma malvacée favorite que mes plus anciens amis vont pouvoir reconnaître : 
Lu dans les mémoires de l’oncle Tom
Publié par Monique-Mauve dans Atelier de Régine le 21 août 2009
Atelier de Régine (chez Ghislaine), semaine en TOM http://sunsyharrey.spaces.live.com/blog/cns!492B16957EB3DE8E!2464.entry
La lecture du premier tome des Mémoires de mon oncle Tom (le mari de Tomasina, la tante au prénom sicilien) m’a rappelé une histoire que j’avais oubliée.
EXTRAIT DE L’ALBUM-PHOTOS DE FAMILLE
L’oncle Tom n’était pas un bleu. Originaire de Guyane, dans les DOM-TOM, il en avait vu des vertes et des pas mûres dans sa vie avant de trouver une place de guide à l’Atomium. Mais ce jour-là, il avait été estomaqué dans son propre jardin potager. A la tombée de la nuit, il avait vu une tomate massacrer un topinambour. Esquinté, pulvérisé, atomisé.
Pour une raison quelconque, son souper n’avait pas pu tomber d’accord. Peut-être, dans la recette dont ils discutaient, l’un des deux avait-il voulu se donner un ton ? La tomate était un tombeur, elle y alla ad libitum. Le topinambour était tombé sur un os et point n’était besoin de tomographie pour voir qu’il avait un pied dans la tombe lorsqu’enfin elle enterra son tomahawk. Elle, elle avait gagné par tomber ; lui, le jardin qui le vit naître devint aussi son tombeau : il y tomba au champ d’honneur. On le conduisit à sa pierre tombale (à la cuisine) sur un tombereau (un torchon) avant qu’il ne tombe en poussière (pour le faire cuire tout de suite, seules les épluchures furent enterrées dans un trou). Qui avait gagné ? Qui avait perdu ?
En tout cas l’oncle Tom, l’estomac retourné, ne put toucher à son souper.
Sur ce, je vais laisser tomber mon index sur le bouton de la souris, publier cette histoire d’un clic afin qu’elle ne retombe pas dans l’oubli.
Bis repetita placent : il ne sera pas ici question de cendriers mais encore de presse-papiers
Publié par Monique-Mauve dans Atelier de Régine le 11 août 2009
Atelier de Régine, semaine en CEN http://redeba.spaces.live.com/blog/cns!55AB7DB88B512407!11381.entry
J’ai eu le catalogue du Centre de Formation des Apprentis de Narbonne-Centre par un collègue aux cheveux d’un blond cendré qui est passé me voir au volant d’une Cent-Turion. Il avait eu une licence ès Carnaval, à Dunkerque, et m’a chanté la chanson du Mercredi des Cendres en entier (réminiscence de mes débuts dans le Nord).
L’atelier ? Il est central comme l’indique le nom de l’établissement, situé juste à côté du Centre de Documentation qui donne sur le canal de la Robine (rien à voir avec celui du Centre, c’est un tout petit canal), au centième étage avec ascenseur de l’avant-premier building de la cité.
Sans vouloir les encenser, nos jeunes ne se débrouillent pas mal. Ils ont des tas de modèles, que dis-je, des tas : des milles et des cents ! Voyons cela de plus près : il semblerait que les apprentis fassent censément comme une fixation sur la syllabe “cen”, regardez les noms de leurs modèles :
LES ARTICLES :
Adolescence préciser le modèle choisi
Centre de Documentation et d’Information préciser le modèle choisi
Effervescence préciser le modèle choisi A
B
Incendie préciser le modèle choisi A
B
C
LES TARIFS : non, je ne les mettrai pas, tous les prix en euros et en cent !
Mais vous, contactez le Centre d’Apprentissage, achetez pour encourager nos jeunes. Bien que sans censure pour eux-mêmes, vous verrez qu’ils vous le rendront au centuple.
Sur ce, je vous quitte pour aller boire le produit de ma centrifugeuse. Le thermomètre indique sûrement 100 degrés Celsius (anciennement appelés “centigrades” ou “centésimaux”). Que ceux qui n’ont pas soif se méfient de la sénescence.
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P.S. : pour compenser car j’ai fait “le coup de la liste” avec le catalogue illustré, j’explique – tout en Français pour ne pas casser l’ambiance – comment procéder pour les images d’icônes :
1. rechercher toutes les icônes gratuites sur la Toile (mots-clés : émoticônes, géantes, 3D, animées, nouvelle génération) ; les renommer déjà en les téléchargeant, il s’agit d’icônes animées et on ne verra pas l’animation sous l’Explorateurs Fenêtres, ce qui est parfois gênant pour les reconnaître
2. créer un sous-dossier dans le dossier Images spécialement pour le travail relatif au billet
3. sous Paint.NET, freeware, appliquer une fois l’Effet Bosse (en général le réglage d’origine, 45, convient) et deux fois l’Effet Dedans-Dehors
4. enregistrer le résultat sous l’un des quatre formats reconnus par Writer, vous pouvez vérifier ci-dessus que le format .gif conserve la transparence et le format .jpeg ne la conserve pas
5. sous Writer, après insertion, l’image étant toujours sélectionnée pour qu’apparaisse la boîte de dialogue adéquate à droite de la fenêtre de présentation, choisir Aucune pour la Bordure dans l’onglet Image pour être sûr d’avoir la transparence du contour du presse-papiers, ainsi les baskets – pour les apprentis – au format .gif sont présentés ci-dessous avec la bordure Papier photo, et la plume et l’encrier – emblème des auteurs – au format .gif aussi, avec la bordure Ombre portée :
Je précise que ces deux images ont 110 pixels de hauteur, ceci ayant été fixé en inscrivant 110 dans la fenêtre Hauteur de l’onglet Avancé et en cliquant ensuite dans la fenêtre Largeur, la case Conserver les proportions ayant été cochée.
Le photo du collègue venu me voir est présentée ci-dessus avec la bordure Photo instantanée, voici l’original, au format .gif seule image à ne pas avoir été du tout retouchée :
Atelier blanc
Publié par Monique-Mauve dans Atelier de Régine le 8 août 2009
Atelier de Régine, semaine en ERS http://redeba.spaces.live.com/blog/cns!55AB7DB88B512407!11381.entry
La destinée de Benoît ERS
Benoît ERS marchait, courbé par ce fort vent qu’on appelle “le cers”, entre Pamiers (Ariège) et Cers (Héraut). Au ciel, les satellites ERS-1 et ERS-2 l’accompagnaient dans son voyage. Il portait deux paniers. Ils étaient, lui et sa femme, un couple de fermiers. Lui cultivait le persil de Méditerranée et elle bidouillait des presse-papiers qu’ils vendaient de particuliers à particuliers. Pour le persil, c’est un peu pervers car beaucoup de personnes le donnent. A Carcassonne (Aude), fatigué, il s’appuya sur la herse du château–fort pour se reposer. C’était un portoloin et, instantanément, il fut au Chemin de Traverse, lui et ses paniers avec ses presse-papiers et son persil de Méditerranée. Pousser jusqu’à POUDLARD s’imposait, il y fut. On l’essaya. Son persil, pas Benoît ERS. Dans diverses potions, préparé de diverses manières, il fit merveille : on l’adopta. Les presse-papiers furent utiles pour dompter certains papiers ensorcelés qui s’échappaient de l’endroit où on les mettait. Les presse-papiers s’animèrent, comme les photos de là-bas.
EXTRAIT DU CATALOGUE
Les chaudrons de POUDLARD ne sont pas versatiles, pour eux, le persil de Benoît ERS est unique et se sentir trompés les retourne. Moralement et physiquement à l’envers ! Quoiqu’ayant chacun leur personnalité, ces chaudrons verseurs protestent tous lorsqu’on leur présente un faux persil “de chez ERS” par un versement impersonnel et anonyme qui montre bien à leurs visiteurs aux yeux pers leur persistance à conserver l’honneur de la famille. Ces quasi-personnes ont ainsi renversé leur contenu jusqu’au versant de la vallée de Londres. Gardez-vous de tout persiflage à ce sujet devant eux ! N’essayez pas de faire diversion pour les distraire ! Vous ne les persuaderez pas d’accepter une herbe perse, par exemple. Comme ils le disent : “vous ne leur ferez pas prendre des ers pour du persil”. Il vous faudra être perspicace en matière de persil sous peine de vous retrouver sur place aux fers, dans l’une des caves, sur un quai de Brest ou au centre de la prison de Fresnes où vous ne souhaitiez pas spécialement aller : cette semaine le rendez-vous est à Versailles.
EXTRAIT DU CATALOGUE
Aujourd’hui, Benoît ERS s’est diversifié, a fondé les compagnies ERS-persil-de-Méditerranée, ERS-presse-papiers-animés, ERS-médailles (avers et revers différents), ERS-souliers et ERS-cordonniers en souvenir de ses débuts, ERS-carretiers pour que ses enfants n’aient pas à marcher, préside tous les ans les Journées ERS-Métiers pour les jeunes de Cers... “Ce n’est pas de la versatilité de ma part, déclare-t-il dans de nombreux papiers de l’Express, c’est le résultat de ma perspicacité envers les difficiles spécialistes du persil”.
EXTRAIT DU CATALOGUE
Sur ce, je vous quitte pour aller voir “QUESTIONS”, comme dit Julien LEPERS qui va encore nous cacher les papiers jaunes des indices.





















