Archives de 4 Mai 2010
Deux cadres frères
Publié par Monique-Mauve dans Journal de bord le 4 Mai 2010
Frane : ton nœud papillon bordeaux pour @l
Publié par Monique-Mauve dans Journal de bord le 4 Mai 2010
Ça s’est passé en GUYANE
Publié par Monique-Mauve dans Atelier de Zazabelle le 4 Mai 2010
(c’est le titre)
pour “L’Atelier des Lettres CA” de ZazaBelle http://cid-3695e5a5030700a8.spaces.live.com/blog/cns!3695E5A5030700A8!14586.entry
12 mots imposés – changements autorisés : singulier pluriel , et masculin féminin
CABIAI Mammifère rongeur de forte taille vivant en Amérique du Sud.”cochon d’eau” http://fr.wikipedia.org/wiki/Capybara
CABARET
CABESTAN Treuil à axe vertical autour duquel s’enroule un câble servant à tirer un fardeau.
CABALE Intrigue secrète ourdie contre quelqu’un, pour l’atteindre dans sa réputation, ses actions ou ses œuvres.
CABLE
CABINET
CABOSSER
CABOCHARD
CABRIOLET
CABUS Variété de chou pommé à grosse tête ronde, à feuilles lisses ; pommé
CACABER Crier pour la caille et la perdrix
CACAILLE Toc, faux – féminin
La caille et la perdrix ont monté une cabale bien cabuse contre le cabiai. Dans un cabinet discret du cabaret, elles ont discuté et discuté toutes les deux, puis sont allées ensuite cacaber dans la grande salle jusqu’à cabosser sérieusement sa réputation. Et pourquoi ? par jalousie : c’est le plus gros rongeur du monde et elles ne sont ni l’une ni l’autre le plus gros oiseau du monde. Voilà pourquoi elles ont sorti des cacailles grosses comme des cables bien entortillés autour d’un cabestan de méchanceté. Pas cabochard, le cabiai s’en est allé dans son cabriolet en emportant son diplôme.
Les chatons
Publié par Monique-Mauve dans Atelier de Zazabelle le 4 Mai 2010
(c’est le titre)
pour “L’Atelier à Thème : adverbes de temps” de ZazaBelle http://cid-3695e5a5030700a8.spaces.live.com/blog/cns!3695E5A5030700A8!14587.entry
6 mots imposés : ALORS – SOUDAIN – DESORMAIS – ENFIN – TOUT A COUP – PARFOIS
6 mots supplémentaires dans le même thème : longtemps – rapidement – tantôt – longuement – souvent – encore
Ils venaient de jouer comme seuls les chatons jouent. Alors, la marchande de sable des chats passa au-dessus d’eux et soudain ils s’endormirent, désormais imbriqués l’un dans l’autre. On ne saurait plus de longtemps à qui était telle ou telle patte blanche. Parfois, tout-à-coup l’un d’entre eux tressaillait : il rêvait qu’il avait attrapé enfin la proie qu’il guettait et qu’il l’avait rapidement immobilisée dans sa gueule. Tantôt le bouquet de moustaches frémissait longuement en silence. Souvent il s’élevait du nœud de fourrure comme une douce ambiance sonore, une mélodie qui se répétait encore et encore, l’un répondant à l’autre et relançant à son tour : ils ronronnaient.








